Nous avons eu à traiter, depuis trente ans, des dossiers d’homicides volontaires, comme celui « du pousseur du RER » ou « des amants diaboliques », de viols, des incestes et des agressions sexuelles, des homicides involontaires comme l’affaire « AZF » ou « le sang contaminé », des affaires de terrorisme comme l’affaire dite des réseaux « Chalabi » ou « des attentats de Marakech » des trafics de stupéfiants comme l’affaire dite « des muses », des escroqueries comme les affaires dites du « Sentier » ou « du CO2 » ou encore l’affaire « Botton-Noir », des bavures policières policières comme l’affaire « Shao LIU », sans oublier tous les auteurs mais aussi les victimes de petites et grandes histoires, oubliées souvent broyées par la machine judiciaire, mais qui restent, pour nous, toutes aussi importantes que ces affaires médiatisées le cœur battant de la défense.